“LE PARTI DU MOUVEMENT” , BANCAIRE…
RÉMINISCENCES , ECHOS ET SYNTHONIES HISTORIQUES….
De mon kimono d’été,
Je n’en finirai jamais!
D’enlever les poux...
Basho, (dernier haïku du carnet de voyage Nozarashi Kiko)
Goya : mala muger (mauvaise femme)
(encre/aquarelle in : “Carnet personnel”...)
Jacques Laffite , banquier “libérale” fut ministre des Finances et président du Conseil du brave affairiste, le “roi” Louis Philippe d’Orléans, jusqu'en 1831 .
Ce banquier-président était le chef du “Parti du Mouvement”... Belle assemblée dynamique ! ….
Karl Marx, début de La défaite de juin 1848 ( in Les Luttes de classes en France ) :
“Après la révolution de Juillet, pendant que le banquier libérale Laffitte conduisait en triomphe son comparse le duc d’Orléans vers l’hotel de ville de Paris, il laissa échapper ces mots : “Désormais , commence le règne des banquiers!”... Laffitte venait de trahir le secret de la Révolution…
Ce n'est pas la bourgeoisie française qui régnait sous Louis-Philippe , mais une fraction de celle-ci : banquiers , rois de la Bourse , rois des chemins de fer , propriétaires de mines de charbon et de fer , propriétaires de forêts … Et la partie de la propriété foncière ralliée à eux, ce que l'on appelle l’aristocratie financière...
Installée sur le trône , elle dictait les lois aux Chambres , distribuait les charges publiques , depuis les ministères jusqu'aux bureaux de tabac”...
….De nos jours, on appelle “bureaux de tabac” dans “les quartiers” plébéiens lümpen prolétariat clientèlistes : “association éthno-culturelle”...“club des jeunes”… “groupe de réinsertion”, par les pratiques contrapuntiques du rap et du full’fighting... “association sportive” du nunchaku écolo-responsable... “amicale de l’Abyssinie et du Calvados réunis” … etc...
Goya, l'Enterrement de la sardine...
“Le Parti du Mouvement” ?....
On suppose que cet impérieux mouvement politique libératoire, d’impulsion bancaire , devait déjà se faire, forcément…. “En Marche” (au pas militaire cadencé, et accéléré…) avec toute sa cohorte d’improbables baltringues arrivistes-prédateurs… Ribambelle inculte de pousse-gamelles bifteckards , salmigondi de branguignols crétinoīdes opportunistes multicartes… assemblage hétéroclite d’hommes et de femmes de paille transparents , sortie dont ne sait ou?!...
Ah oui , c'est vrai ! J'oubliais… Cette farandole “croquignolesque” de derniers de la classe patentés sont censés être issus de la sacro-sainte “Société Civile”...
Et d’icelle, recrutés sur cv... Recrutés dans les tréfonds des chiottes des Grands Boulevards marxo-balzaciens des classes sociales voiyoucrates (“la racaille faubourienne”...) non productives, parasitaires… Où pululent tapins/politicards krypto mafieux de métier , marlous/“animateurs sociaux” multicartes...racoleuses/“communiquantes”, surineurs/“directeur des ressources humaines”, souteneurs/“entrepreneurs”, courtisanes/“lobyistes”, manipulateurs des tréteaux de foire et autres joueurs de bonneteau/ “mathématicien des systèmes gazeux de Boltzman”, en leur phase “d'Intelligence Artificielle” vénale…
Cette purulence sociale foisonnante, et oh combien “croquigniolesque”... n’a “de charme”, qu’archivée dans les pages des génies littéraires de la Langue Française du Temps passé… Mais point dans la réalité concrète de “l'Economie Sociale” des vivants !...
Goya : la Cucanã…
Goya : The madhousse.
Voilà donc ce Parti du Mouvement “new look 2.0”, conpendium misérable de clounesques clowns clonés anencéphales , formant le cheptel bovineux abruti de ce parlement-godillots en skaï synthétique; cohorte en carton pâte formée-formatée avec Art , par les stratéges concupiscents du grand Kapitale en ordre de marche militaire sur le protectorat de la Région.France.com!... “Ça est double plus bon !”...
Goya : Bal masqué...
Pèlerinage à San Isidro.
Karl Marx, toujours au début du même ouvrage, à propos des spoliateurs professionnel s’enrichissant éhontément sur la Dette (factice, inique et oh combien ingénieurée…) de l’Etat , soit les monopolistes-vampyres de l'acte “sacro-saint” de la création de crédits financiers :
“ … L’endettement de l'État était, bien au contraire , dans l'intérêt direct pour la fraction de la bourgeoisie qui gouvernait et légiférait au moyen des Chambres . C'était précisément le déficit de l'État , qui était l'objet même de ses spéculations, et la source principale de son enrichissement... A la fin de chaque année , nouveau déficit . Et au bout de 4 ou 5 ans , nouvel emprunt !... Or, chaque nouvel emprunt fournissait à l’aristocratie financière une nouvelle occasion de rançonner l'État , qui, maintenu artificiellement au bord de la banqueroute , était obligé de traiter avec les banquiers dans les conditions les plus défavorables….
Chaque nouvel emprunt, et c'est une nouvelle occasion de dévaliser le public, la classe moyenne : qui a placé ses capitaux en rentes sur l'État… Et ce, au moyen d'opérations de Bourse , au secret désquelles gouvernement et majorité de la Chambre est initiés...
En général , la stabilité du Crédit Public et la connaissance des secrets d'État pèrméttaient aux banquiers, ainsi qu'à leurs afidiés dans les Chambres et sur le trône, de provoquer dans le cours des valeurs publiques des fluctuations insolites et brusques , qui avaient imanquablement comme résultat la ruine d'une masse de petits capitalistes, et l’enrichissement fabuleusement rapide des grands spéculateurs.”...
Et à propos de l'étrange endêttement sans cesse croissant des “grandes régions”, des départements, des intercommunalités et communes de France actuellement… Cette étrange (et très silencieuse… ) maladie nationale, qui a tout du racket néo mafieux à la sauce “latine” du “tiers-monde”...
“... En outre , les sommes énormes qui passaient ainsi entre les mains de l'État laissaient place à des contrats de livraison frauduleux , à des corruptions , à des malversations, et à des escroqueries de toutes espèces… Le pillage de l'État en grand , tel qu’il se pratiquait au moyen des emprunts , se renouvelait dans les travaux publics locaux... Des relations entre la Chambre et le gouvernement se retrouvaient multipliées sous forme de relations entre les différentes administrations et les différents entrepreneurs…”.
Goya, Ils en tirent profit... (in Désastres, n° 16 )
...Pour ce qui est de “la technique du yoyo” sur les nationalisations/privatisations/re-nationalisations…des chemins de fer, et autres infrastructures nationales, l’ami Karl a aussi sa petite remarque éclairante :
“... De même qu’elle exploitait les dépenses publiques en général et les emprunts publics , la classe dominante exploitait aussi les constructions de lignes de chemins de fer. Les Chambres en rejetaient sur l'État les principales charges , et assuraient à l’aristocratie financière spéculatrice une manne dorée…. On se souvient des nombreux scandales à la Chambre des députés lorsqu'on découvrit par hasard , que l'ensemble des membres de la majorité , y compris une partie des ministres , avait des intérêts comme actionaires dans les entreprises même de voie ferrées; à qui ils confiaient ensuite, à titre de législateurs… l’exécution des lignes de chemins de fer pour le compte , et aux frais de l'État …”...
Sounds familiar ??...
Goya, Victime (dessin in un de ses Carnets perso.)
Goya, Liens indissolubles ...(encre de Chine).
Encore un petit coup de sonde coloscopique marxien du docteur Karl??...dans les entrailles vérolées de la Maqueraunie triomphante : quand il y a fusion entre “la plébe du haut” et la plébe du bas… Consubstantialitée organique entre la racaille faubourienne,malfrate “d'habitus”... et la racaille malfrate parvenue en costard Hugo Boss… Même opportunisme de prédateurs chacals en maraude sociale… Même misérables meutes de hyènes chassant en bande… (“Le pouvoir de nuisances” de la voyoucratie a pour origine : la faiblesse même des individus nocifs coagulés qui l'a compose… Ce qui en a fait de tous temps : de parfaits candidats au beaux métiers de souteneur, de trafiquant d’étres humains, de délateurs de la police “du patronat”, ou de “premiers de cordée”/premiers engagés dans les milices collaborationnistes , lorsqu'un pays est envahi par une puissance étrangère prédatrice …
Soit, de “la Milice” germanophile des temps du troisième Reich, aux estafettes de sémillants “young leaders” ricano-otanistes du quatrième “Reich” europeïste... qui pululent et envahissent les appareils politiques frankaouis au service des désidératas du Kapital anglo-saxon, et qui aussi floculent les écrans et médias de masses du bourage de crânes de la Propagandastafel officielle… ).
Soit, de “la Milice” germanophile des temps du troisième Reich, aux estafettes de sémillants “young leaders” ricano-otanistes du quatrième “Reich” europeïste... qui pululent et envahissent les appareils politiques frankaouis au service des désidératas du Kapital anglo-saxon, et qui aussi floculent les écrans et médias de masses du bourage de crânes de la Propagandastafel officielle… ).
Goya, ''Ils arrivent !...''/ gravure in Les Malheurs de la Guerre.
Goya, "Le Colosse". (in Peintures Noires...).
Cette “force” de la racaille (institutionalisée ou non…) que se donnent les faibles mélés à l’ordure, quand ils s’aglutinent et se coagulent, profitant de l’endormissement du Colosse Prolétaire (du brave “moujik”...) , dont l’alpha et l’omega de la Vie n’est point le parasitisme forcené et la repaîtration des instincts les plus bas … mais l’émancipassion de sa Vie et de celle de ses proches, de sa famille, de ses “camarades”, par le processus même de son Travail…. de son pouvoir créatif concrét en action… “Le moujik”, “l’honnête travailleur”... est paysan, artisan, bâtisseur-architecte de la Nature et de ses fruits (et donc naturellement “savant” et “scientifique” par sa praxis positive …). Sa jouissance, son bonheur, est dans la consommation de sa propre “récolte agricole”… ou de sa propre création artisanale…Sa création non frelatée, honnête… Si ce mot à encore un sens…. (Et sans intermédiaires parasitaires, spoliateurs de plus-value !...).
Goya, le Rémouleur. (peinture)
Goya, le Rémouleur. (peinture)
Alors, “l’Art” et l'artisanat se complètent , dans la réalisation d'un “Temple des Arts” á échelle humaine… Grenier africain à mil, “Théâtre du Globe”, pont en bois chinois du Fou’jian, kiōsk ottoman (une fois assemblé, oui pourquoi pas, le fantôme zéphyréen de Fred Astaire peut venir y chanter, le temps d’une averse impromptue : “What a lovely day, to be caught in the rain”... du dandy Cool Porter… en noirs et blancs RKO…Temps suspendu...sur le “silver screen” de la Cinémathèque hors temps...)
... église en bois sculpté, scandinave ou russe… petite chapelle des Cyclades, immaculée, à la coupole d'Azur posée face à la Grande Bleue… merveilleux boutres en bois du Yémen ou de l'île de Zanzibar… prahos indonésiens à balanciers... pagode shintoïste nippone, où “Hermitage du léttré au bord du Lac”.... Par exemples… Quand le Génie créatif humain, en échos aux formes topologique dynamiques du Cosmos… s'exprime , sans chaînes ni menottes… Tout devient très clair, alors...

Praos indonésiens.
Sampan indonésien...
Shi Tao, encre sur papier: l'Ermitage du lettré...
Mais toute cette construction économico-sociale de margoulins métaphysiques urbanus de la Maqueraunie “séculaire”, profite aussi du consensus mou d'une classe moyenne petite-bourgeoise urbaine, elle aussi socialement parasitaire par habitus… s’imaginant, consciemment ou non, faire partie “du même Monde” que celui de la Grande Bourgeoisie, des “ultra-riches”, de l’Oligarchie concréte, parce que elle serait censée partager les mêmes “valeurs” et consommations culturelles… Comme, par exemple, celles d'un milliardaire “philanthrope” tel que Ladre madré de la Charrière… Bhein voyons!... Illusion des illusions, tout n'est qu’illusions !... Foutre Dieu !...
Goya, Inquisition (peinture).
Goya, Inquisition (peinture).
...Lorsque l’aviation mercenaire “mandatée otan'satan” de la Ripoublique française bombardait les zones urbaines de Serbie, ou plus récemment de Libye… la petite bobocratie humanitairienne, floquée dans son jus massemédiatique, s’esbaudissait perversement, tandis que les marchands frankaouis de canons, d’obus, et de morts se frottaient leurs mains crapuleuses…
Bréeef!... Prenons oui, encore un petit coup de sonde coloscopique marxien du docteur Karl dans les entrailles vérolées de la Maqueraunie triomphante : quand il y a fusion entre “la plébe du haut” et la plébe du bas…
“...Tandis que l’aristocratie financière faisait des lois, administrait l'État, disposait de tous les pouvoirs publics organisés, dominait l’opinion publique par l’état des choses et par la presse, on vit se reproduire et pululer dans toutes les sphères, de la Cour au café Borgne : la même prostitution , la même fraude éhontée, la même soif de s'enrichir, non point en produisant mais en escamotant la richesse d'autrui disponible … Et c’est surtout au sommet de la société bourgeoise que se déchaînait l’affirmation effrénée des appétits pervers et dissolus , entrant en collision à tout instant avec les lois bourgeoises elles-même : convoitises où la richesse gagnée au jeu cherche naturellement sa satisfaction… où le plaisir devient crapuleux, où se mêlent l'argent , la boue , le sang... Dans son mode d'acquisition comme dans ses jouissances, l’aristocratie financière n'est rien d'autre que la résurrection du prolétariat encanaillé , (la racaille faubourienne…) au sommet de la société bourgeoise parvenue...".
À propos des remugles sociaux, forcément et tres logiquement propulsés par les coups de boutoirs avides de la camarilla des spoliateurs financièrs, ayant braqué la maison close Elysée :
“….La bourgeoisie industrielle nationale voyait ses intérêts menacés, la petite bourgeoisie était moralement indignée, l'imagination populaire scandalisée… Paris était inondé de pamphlets : “la dynastie Rothschild” , “les Juifs rois de l'époque” par Toussenel, et caetera... Où l’on dénonçait et stigmatisait de façon plus ou moins spirituelle le règne de l’aristocracie financière… [...]
...La maladie de la pomme de terre et les mauvaises récolte 1845 et 1848 accrurent l’ effervescence générale dans le peuple… La disette de 1847 provoqua des conflits sanglants en France comme sur tout le reste du continent... D’un côté, les orgies éhontées de l’aristocratie financière , de l'autre, la lutte du peuple pour les denrées de première nécessité… A Buzencais , on exécuta les émeutiers de la faim. A Paris des escrocs repus furent soustraits aux tribunaux par la famille royale!...
Le second événement d'importance qui hâta l'explosion révolutionnaire fut la crise générale du commerce et de l'industrie en Angleterre en automne 1847 …”.
... Bon, breiif!!.... Rien de bien nouveau sous le soleil grisâtre de la mainmise économico-sociale du Kapital sur le beau Pays de France!... Jeté en pâture au joug revanchard, mafieux, vorace et obscène du “Parti du Mouvement”... Je vais finir par croire aux loix immuables des Cycles de Vico, où même au “mythe de l'Éternel Retour”... de cet histrion mythomâne obscurantiste, slaveryophile et proto fasciste-nazi de Fredy Nietzsche!.... Le Boufon Magnifique… “Rien qu’un poêête, rien qu’un fou”... Oy weh!.. Icône foireux, adulé tres sérieusement par des générations d’éternels pety-bourgeois dix-neuvièmistes, indécrottablement mentalement arrièrés; à la psychée intime tournant en rond dans les catacombes “Ancien Régime”, restée “kéblo” sur les jupons de Marie-Antoinette, de Joséphine de Beau’harnais, ou de “la terre qui ne ment pas”... avortons nunuchversitaires, improductifs et parasitaires par essence sociale... puceaux consubstantiels, nietzschéolâtres et impotents par définition !...
...Pendant que les crapules sans âme braquent les retraites des “viellards inutiles” , et les “pensions de réversion” des veuves... La racaille du haut en costards Hugo Boss braque, oui ! dans le fond des poches des vieilles dames “du Peuple” : leurs modestes retraites, et même leurs pensions de veuvage!… Quelle infâmie sordide !!...
Afin que par “ruissellements” vers le haut, les vieilles cloques surliftées de l’immonde et obscéne classe parasitaire “de la pointe de la Pyramide” exploitatrice puissent offrir à leurs gigolos gitons, anencéphales tapins ambidextres de passage, une énième oeuvre d'art “contemporain” débile et affreuse, encore une imondice “or de prix” ?... en guise de cadeau potlach “symbolique” , consumant sans vergogne le travail, la sueur, et le sang, extorqués aux classes travailleuses…
Afin que par “ruissellements” vers le haut, les vieilles cloques surliftées de l’immonde et obscéne classe parasitaire “de la pointe de la Pyramide” exploitatrice puissent offrir à leurs gigolos gitons, anencéphales tapins ambidextres de passage, une énième oeuvre d'art “contemporain” débile et affreuse, encore une imondice “or de prix” ?... en guise de cadeau potlach “symbolique” , consumant sans vergogne le travail, la sueur, et le sang, extorqués aux classes travailleuses…
“... Une grande part du Kapital financier, qui apparaît de nos jours aux États-Unis sans certificat de naissance, était encore hier en Angleterre , le sang capitalisé du travail des enfants dans les work-houses…”...
"Biennale de Venise"...(district du Lol'land?...)
“... Les ravages causés dans le commerce et l’industrie par l’épidémie économique venue de Londres rendirent encore plus insupportable l’autocratie de l’aristocratie financière.”...
Karl Marx, début de La défaite de juin 1848 . In Les Luttes de classes en France .
Goya : Vieille dame. \encre.
Goya, Mendiant (encre, in Carnet personnel )
Eboulis dans la rivière.
Mais le ruisseau trouve son chemin…
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